Quand la mémoire raconte. (c)

Quand la mémoire raconte.

Et de trois.

                                      Après: " J'ai rêvé mon Père " et " Lettre à Jules ", " Quand la mémoire raconte " vient à nouveau me donner l'occasion de vous parler de mes souvenirs d'enfant, de mes souvenirs d'enfance. Également de ceux qui m'ont été racontés et que je vous livre dans un discours fidèle à ce que j'en ai entendu.

                                        Ce livre comporte 7 récits, dont certains sont inspirés de mon vécu.

             Pour Rose, l'écoute attentive de sa vie, me permet de vous parler de ce que fut une frange de sa jeunesse. Centenaire aujourd’hui, mon épouse et moi qui partageons son quotidien, avons tout loisir de l'entendre raconter ses souvenirs. C'est à l'occasion de l'un d'entre eux en particulier, que j'ai crayonné les premières lignes d'un texte la concernant.

             Quant à Fonzi, il s'agit d'une correspondance imaginaire entre un dogue anglais mis en pension, et sa maîtresse partie en vacances!

         Flambeau est le fruit d'une retranscription, où se confondent des faits relatés sur un carnet que j'ai pu feuilleter, et ceux contés par un guide de haute montagne lors d'une veillée dans un refuge du parc de la Vanoise.

            160 pages dans lesquelles j'ai repris mon histoire avec Étienne. Histoire d'une situation m'ayant conduit à faire une rencontre pour le moins curieuse dans ce qui fut son déroulement

Publié à compte d'auteur, ce livre n'est pas diffusé. Il peut se commander par le canal de mon adresse informatique.

marcel.tauleigne@orange.fr

Quand la mémoire raconte est une série de récits dont la plupart sont tirés de mon vécu. 

              Écrire : Une interrogation sur le besoin de me raconter. Un moyen également de revenir sur mon passé dans l'espoir d'y trouver d'autres réponses, qui en leur temps me furent données, et dont le contenu me restait étranger ce que j'en attendais.

              Flambeau : Il s'agit d'une histoire qui fut contée par un moniteur de ski aux élèves d'une classe de neige qui se déroulait à Lanslebourg en Vanoise et à laquelle je participais en qualité d'animateur.

                 Rose : J'ai retranscrit ce que cette dame centenaire, vivant sous notre toit, me raconte alors que je lui sert son petit déjeuner. Dans ce récit, je vous en livre une partie de son histoire alors qu'elle est conduite par sa mère pour ce qui est en fait un abandon.

 

                À propos d'une aboicriture : J'ai imaginé, alors qu'il nous est confié par sa maîtresse, Fonzi, ce chien, lui écrire sur sa vie de pensionnaire et sur son inquiétude quant à savoir si le grand oiseau qu'elle a pris pour son voyage va retrouver le chemin conduisant à sa niche. 

               Un premier ami : Ce récit raconte mon vécu à propos de ce qu'a représenté la naissance d'une amitiè. Amitié dont l'essence reste un sentiment mystérieux. L'ami, celui où l'enfant que j'étais eut le bonheur d'en faire la rencontre. L'ami, celui avec qui l'on échange sur ce qui ne peut se dire qu'à lui. Celui qui sait vous écouter. Celui qui sait vous comprendre.  

 

               Marcher dans les pas de mon Père : Commentaire d'une randonnée pédestre sur des sentiers que mon Père foulait dans son enfance alors qu'il y gardait un petit troupeau familial sur le plateau du Tanargue en Ardéche. Marcher sur ses pas pour remettre en mémoire le temps dont il m'a raconté sa jeunesse.

                 Étienne : Été 1951. C'est l'histoire d'une rencontre. Rencontre insolite entre un jeune malade et moi. Loué comme garçon vacher entre Saint-Cirgues en Montagne et le Lac d'Issarlès durant les trois mois de vacances scolaires, je me trouve à devoir accompagner Étienne dans sa vie d'Être en mal de vivre. De cette rencontre va naître une amitié, dont la relation sera parfois singulière.

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